ICE GeoAlert

Cette catégorie permet de découvrir l’univers ICE GeoAlert!

Petit résumé des enjeux de la géolocalisation

Géolocalisation

Géolocalisation

 

La géolocalisation, ou « procédé permettant de positionner un objet, une personne sur une carte à l’aide de ses coordonnées géographiques » (Wikipédia), est très contestée dans le monde entier dans la mesure où elle a souvent tendance à aller à l’encontre de certaines valeurs de notre société.

Pourtant, la géolocalisation peut être un outil réellement différenciant pour beaucoup d’entreprises, d’évènements ou type de personnes.

La géolocalisation, c’est quoi ?

Dès lors qu’on possède un smartphone (Android, Iphone, …) qui est muni d’un GPS et d’un accès à internet, on peut déterminer notre position exacte en déterminant la position de notre smartphone.

La géolocalisation, quels enjeux ?

La géolocalisation pose d’abord problème au niveau de la protection des données individuelles et de la vie privée. En effet, suivant les systèmes de géolocalisation, les utilisateurs ont plus ou moins le choix d’être suivi.

Quand suis-je suivi ?

La plupart des applications pour les particuliers permettent de choisir quand l’activer et le désactiver. Pour les entreprises le débat est différent, car il faut d’abord décider quand est-ce que l’employeur a le droit de savoir où est son employé : quand il fait une pause au bord d’une forêt avant un rendez-vous, est-on en droit de savoir sa position exacte ?

Où mes données personnelles vont-elles atterrir ?

La réponse à cette question dépend évidemment de l’entreprise qui les enregistre. A savoir qu’aujourd’hui les données de géolocalisation intéressent les entreprises de tous les domaines, car on le sait, le futur se trouve dans la prédiction des comportements d’achat, physiques, psychologiques, etc.

Qui peut avoir mes données géographiques ?

Attention, la géolocalisation ne se fait pas uniquement dans les applications ! Lorsque vous activez vos données de géolocalisation et partagez un tweet avec position par exemple, vous pouvez être géolocalisé par n’importe qui. Dès lors, toute personne qui vous suit sur Twitter, Facebook ou autre réseau social de ce type, peut vous trouver au mètre prés dès que vous faites une publication avec un « geotagging ». (Il peut à ce moment savoir que vous n’êtes pas chez vous, et que la maison est tout à fait vide…)

Gratuit pour les particuliers, et sinon ?

Bien que ces systèmes soient souvent gratuits pour les particuliers, ils ont un coût élevé pour les entreprises qui tentent d’utiliser la géolocalisation pour avoir des données précises sur leurs employés (temps passer à rouler, kilométrages…).

Une occasion pour de l’hyperciblage marketing ?

Et oui, les systèmes de géolocalisation « pour le loisir », c’est-à-dire qui vous suivent 24/7, ou du moins durant votre temps libre, sont une occasion de recueillir un paquet d’informations de type très variés sur votre vie, vos habitudes et ce que vous appréciez. Ce sont ces informations qui vont être utiles pour prévoir les comportements et pour cibler les pubs que vous survolez sur internet.

Mais qu’y a-t-il de positif à la géolocalisation ?

Bien que l’image véhiculée de la géolocalisation soit si mauvaise, la géolocalisation a plein de vertus ignorées ou non évoquées.

Tout d’abord, l’utilisation des données dépend des entreprises qui les utilisent ; ainsi, certaines entreprises collectent certes les données mais ne les utilisent pas, comme ICE GéoAlert.

De plus, la géolocalisation peut apporter des améliorations à beaucoup de choses :Elle permet certes l’analyse des comportements humains à des buts liés au profit, mais pas que. Utilisée pour l’urbanisme notamment, comme l’a fait Orange en 2013 pour son expérimentation de l’empreinte mouvement à Rennes, ou pour la sécurité comme le fait ICE GéoAlert, la géolocalisation, si elle reste sur un système d’échange de données collaboratif en vu de l’amélioration de situations communes, est un réel avantage donné par la technologie actuelle.

Enfin, au delà de la simple praticité de la géolocalisation, il ne faut pas oublier qu’on peut aussi utiliser la géolocalisation pour le loisir, comme l’a fait le Tour de France avec la géolocalisation des coureurs.

Ainsi, pour éviter toute mauvaise utilisation de vos donnés de géolocalisation, il faut faire attention aux informations que l’on partage et à qui on les partage.

 

Le « quantified-self », opportunité ou danger ?

             « Connais-toi toi-même ». Ce précepte grec n’a jamais été plus vrai qu’aujourd’hui, à l’heure du quantified-self.

Mais d’ailleurs, qu’est-ce que le quantified-self ou quantification de soi en français ?

Ce phénomène est apparu dans les années 2000 aux Etats-Unis a pour origine le nouveau rapport au corps offert grâce aux nouvelles technologies. En effet, il est naturel de dire que l’on ne peut améliorer ce qu’on ne peut quantifier, c’est pourquoi on a vu se développer des objets connectés pas seulement avec notre maison, mais aussi avec notre corps, c’est-à-dire avec votre activité physique – pas, poids, rythme cardiaque. Ainsi, le quantified-self est le nom pour ce nouveau mouvement, de mode ou de valeur, qui pousse les foules à suivre et partager leurs données de santé quotidiennement, innocemment, et ce pour mieux connaître leur corps dans le but de mieux le gérer.

Les risques du quantified-self :

Cependant, cette nouvelle tendance n’est pas sans danger. D’abord, tout comme toutes les vagues d’innovations technologiques, celle-ci possède son lot de risques typiquement liés aux technologies. Les données collectées peuvent donner lieux à un nouveau commerce de l’information santé, où ces données permettent d’anticiper les besoins du marché (CF. Article IBM & APPLE) ; le piratage des informations de santé peut mettre en péril l’intimité profonde de l’individu-la fin du secret médical ? ; etc.

Mais en réalité, ce sont des risques nouveaux et inattendus qui inquiètent certains acteurs du marché, experts ou sociologues. En effet, cette nouvelle mode est sur le point de remodeler notre société actuelle, son mode de fonctionnement et sa pensée. Quels sont ces nouveaux risques ?

Pour commencer, le quantified-self pourrait donner lieu à la création de fausses normes comportementales et physiques. C’est-à-dire que l’obsession du corps, de son fonctionnement et de ses performances peut être à l’origine d’un nouveau modèle humain qui ne peut correspondre à tous les individus ou toutes les sociétés, et ne serait alors qu’un leurre.

De plus, selon l’étude réalisée par le cabinet Roland Berger, ce nouveau modèle est susceptible d’entraîner de nouveaux partenariats, notamment entre les collecteurs de données (Samsung, Apple…), les fournisseurs de soins (Les assurances), mais aussi avec les employeurs. La globalisation de cette pratique de quantified-self, entre-autre du partage des données de santé, rend en effet possible des pratiques discriminatoires envers ceux qui ne partagent pas leurs données. Ces derniers renverraient alors une image de « mauvais risque » aux employeurs ou assurances (cf. Cahiers IP n°1 de la CNIL, « Vie privée à l’horizon 2020 », 2012). Ainsi, peut-être que plus tard nos assurances offriront des tarifs avantageux pour ceux pratiquant un certain nombre d’activités physiques …

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Enfin, cette envie ou besoin de résoudre nos problèmes de santé par la compréhension de notre corps et de ses dysfonctionnements nous éloigne en réalité de la solution, qui se trouve être dans la cause originelle de nos problèmes de santé. Ainsi, comme le dit Antoinette Rouvroy, « rendre les individus plus responsables de leur bonne ou de leur mauvaise santé risque de distraire l’attention sur les causes environnementales ou socioéconomiques de la mauvaise santé, au profit de causes comportementales. » Autrement dit, il est plus facile de se concentrer sur la résolution du problème par la création de nouveaux comportements compensateurs que de lancer des réformes structurelles pour s’attaquer aux causes environnementales et socioéconomiques sources du problème.

Ainsi il est clair que la tendance du quantified-self est une pratique controversée à réaliser avec modération.

Attention à bien différencier les applications de santé/sécurité de type quantified-self, et celle de type protection de sa santé et sécurisation comme ICE GéoAlert*. En effet, dans le premier cas l’individu se concentre sur lui-même, tandis que dans l’autre l’individu se concentre sur son réseau de proches pour améliorer sa sécurité et son bien-être quotidien.

*Par soucis d’éthique, sachez qu’ICE GéoAlert n’utilise pas vos données personnelles.

Les démonstrations ICE GéoAlert : Installation et inscription (1)

Suite à vos nombreuses questions nous avons décidé de vous proposer des vidéos de démonstration pour vous aider pas à pas dans l’utilisation de l’application.
Aujourd’hui, nous commençons avec une étape simple mais primordiale : l’inscription au site et l’installation de l’application sur votre portable.

Si vous avez des idées de sujets à nous soumettre, n’hésitez pas à nous écrire dans les commentaires les démonstrations que vous souhaitez avoir!

Réagissons fasse aux violences faites aux femmes.

En France, une femme décède tous les trois jours sous les coups de son conjoint.
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Même si la plupart des gens pensent juste aux violences physiques faites aux Femmes, les violences morales sont inacceptables et malheureusement très présentent.

Parmi ces « harcèlements qui ne laissent pas de traces », le harcèlement de rue est l’un des plus présent. Une femme sur 5 a subit au moins une  forme de violence dans l’espace public au cours des douze derniers mois, allant de l’insulte à l’attouchement. Malheureusement, ces violences tendent à se banaliser et les esprits ne sont plus choqués face à de telles pratiques. C’est cette banalisation qui est dangereuse, parce qu’elle permet au harcèlement de s’installer dans la vie de ces femmes.

La violence physique est quant à elle, très présente. Selon une étude menée par 20 minutes, plus de 200 000 femmes sont victimes de violences conjugales en France chaque année et il s’agit dans 70 % des cas de violences répétées. Et ces chiffres sont encore très en dessous de la triste réalité quand on sait que la plupart des victimes ne souhaitent pas en parler.

Le silence, l’arme des agresseurs

C’est justement ce silence qui permet aux conjoints ou harceleurs de mettre en place un système de violence répété. La victime, prise dans un engrenage de peur n’ose pas en parler, de peur de représailles. Ce qui permet à son agresseur de continuer cet harcèlement.

A peine 10 % des femmes qui se déclarent victimes de violences au sein du couple ont déposé plainte.

Il faut donc en parler, et pour cela, de nombreux sites internet, associations et numéros sont mis à disposition des victimes, pour discuter, échanger et surtout être aider. Parce que la solitude et l’enfermement sont les pires solutions.

 

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Le téléphone « Grand Danger »

Directement relié à Mondial Assistance, ce téléphone mis à la disposition des femmes victimes de violences a été mis en place par l’ancienne Ministre des Affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, Madame Najat Vallaud-Belkacem en collaboration avec la Garde des sceaux Madame Taubira et le Ministre de l’Intérieur Monsieur Cazeneuve.

Il est destiné aux femmes victimes de violences de la part d’un partenaire ou ex-partenaire et aux victimes de viols qui ont été évaluées comme étant en très grand danger, cette évaluation est le plus souvent transmise par les associations.  La victime doit accepter d’appeler la plateforme Mondial Assistance – qui reçoit les appels – tous les quinze jours, pour vérifier que le téléphone fonctionne bien.

Présenté comme un téléphone ordinaire (pour ne pas être reconnu par l’agresseur), ce téléphone est doté d’une touche qui permet d’appeler automatiquement Mondial Assistance. Lors d’une Alerte, Mondial Assistance évalue la gravité de la situation afin de répondre aux besoins de la victime au mieux. Ce téléphone permet aux victimes en très grand danger de pouvoir contacter directement, et facilement les services de secours/police.

 

Parce que les violences faites aux femmes et le harcèlement de rue sont des phénomènes de plus en plus présent, il est important d’en parler et de relayer ces informations pour lutter contre ce fléau.

Prenez soin de ceux que vous aimez

Une journée à Peyragude

Merci à Tous ! 

L’équipe marketing d’ICE GéoAlert s’est rendue dans les montagnes Pyrénéennes pour continuer à faire découvrir notre application dans les stations de ski. Après la station d’Ax-les-Thermes c’était au tour de la ville de Luchon, et des stations de Superbagnères et Peyragudes de nous recevoir.

C’est donc sous un soleil éclatant que nous sommes allé à votre rencontre, pour vous parler de nous et vous proposer les affiches de notre application.

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Lors de cette journée nous avons rencontré beaucoup de personnes et nous tenons naturellement à tous vous remercier.

Nous avons passé un très bon moment dans la « Maison de la Presse » de Luchon avec Monsieur et Madame Vigé au 10 Avenue Carnot ainsi qu’avec Renaud « Au Casse-Croûte », 33 Allée d’Etigny, où nous avons mangé.

Nous remercions aussi le magasin All Mountain, l’office du tourisme de Luchon, les Moniteurs de ski de l’ESF de Superbagnères, Peyresourdes et Agudes, ainsi que les gendarmes de Luchons avec qui, malheureusement, nous n’avons pu prendre de photos !

Enfin merci à tous les autres qui nous ont agréablement accueillis dans leurs magasins!